Le mauvais choix d’une technique de soins cutanés peut engendrer des dégâts irréversibles sur la peau. Pour éviter cela, il est préférable d’opter pour une méthode fiable. À ce titre, connaissez-vous le Bihaku ? Il s’agit d’une méthode de soins japonaise dont voici les avantages !

Bihaku : mieux connaître cette technique

Le bihaku est une technique de superposition de soins de manière précise et raffinée. Il permet à son utilisatrice d’avoir un visage sans pores apparents ni rides. Comme l’indique son appellation, cette méthode est d’origine japonaise.

En effet, le bihaku est issu de la tradition cosmétique du pays du soleil levant. Cette technique consiste à jongler avec les produits de beauté pour garantir :

• une mine lumineuse ;
• une peau non grasse ;
• un teint blanc et pas blafard.

Le bihaku permet aussi d’avoir une peau raffermie sans gonflement. Évidemment, il faut consacrer énormément de temps à l’épiderme pour obtenir un résultat optimal.

Grâce à cette méthode antirides, les Japonaises ont une longueur d’avance. Il faut noter qu’au Japon, la beauté est principalement associée à la blancheur et à la luminosité de la peau. Ce qui peut être obtenu grâce au rituel de beauté dénommé « bihaku ». D’ailleurs, la traduction française de bihaku est « beauté blanche ».  

Le raffinement de la peau et la suppression des rides sont les facteurs de son succès en Europe. Cependant, l’adoption de cette technique de layering en Europe est récente. Par contre au Japon, le bihaku est un art ancestral. Il privilégie la sensation des différentes textures sur la peau.

Outre les qualités citées ci-dessus, le bihaku est aussi considéré comme un anti-âge puissant. Les Japonaises se servent de ce rituel de beauté pour atténuer voire prévenir l‘apparition des rides. 

Bon à savoir : répété au quotidien, et ce plusieurs fois, le bihaku permet à toutes les femmes de conserver une peau de bébé.

Quelles sont les étapes du bihaku ?

Les bienfaits du bihaku sont visibles au bout d’un processus à plusieurs étapes. Chaque phase est importante pour obtenir un glass skin, une apparence éclatante et un teint impeccable.

La première étape consiste à l’application successive d’une bonne dizaine de produits cosmétiques au quotidien. Avec ce layering de produits, la peau est nourrie en profondeur. En plus de cela, elle est protégée des agressions extérieures, comme la pollution par exemple. Au nombre des soins à mettre, il y a :

• l’huile démaquillante ;
• nettoyant doux ;
• lotion tonique ;
• crème hydratante ;
• brume rafraîchissante.

La deuxième étape consiste à ne pas hésiter à réappliquer les produits cosmétiques au cours de la journée.

La troisième étape, étant la plus cruciale, consiste en l’application d’une bonne crème solaire. Si possible, il faut que la crème ait un indice de protection de 50.

La quatrième étape consiste à optimiser les phases précédentes. Pour le faire, il faut un massage facial quotidien. Cela permet de stimuler l’épiderme, très souvent stressé et saturé en toxines.

La cinquième et dernière étape consiste à pratiquer la gymnastique cutanée. Cette activité possède un côté relaxant et méditatif. Elle est aussi douce en plus de permettre une meilleure conservation de l’épiderme. Ainsi, la peau est rebondie et ferme sans un recours à des injections.

Attention : actuellement la vitamine C, en sérum ou en crème, est devenue le nouvel ingrédient star des soins cutanés utilisés dans le bihaku.

Bihaku : est-ce une garantie d’une peau sans imperfection ?

Cette méthode originaire du Japon offre un teint plus-que-parfait, car il vient d’un pays où la beauté est une tradition. En effet, le bihaku permet d’afficher une belle peau, lisse et homogène. Ainsi, l’utilisatrice est bien à l’extérieur comme à l’intérieur de son derme.

Au Japon, une peau sans imperfections est un symbole de pureté et une garante de l’harmonie du monde avec soi-même. Par conséquent, le bihaku est mis en place dans l’objectif clair d’obtenir une jolie peau. Ce qui justifie la pratique du layering, une succession très ritualisée de différents soins.

En outre, la beauté cutanée se caractérise aussi par un teint :

• net ;
• clair ;
• très éclatant.

Le bihaku permet au teint d’être capable de réfléchir parfaitement la lumière. Il offre à son utilisatrice cette qualité cutanée par le biais d’un méticuleux double-nettoyage. En prime, il associe des propriétés anti-âge. 

Pratique du bihaku : le double-nettoyage pour une peau nette ?

Le bihaku débute par un double-nettoyage à la japonaise. Comme son nom l’indique, elle se divise en deux étapes. Toutefois, il faut d’abord faire le choix des produits afin d’obtenir l’effet escompté. Une fois les produits adéquats disponibles, l’utilisatrice peut appliquer le nettoyage (en deux étapes) proprement dit.

Pour ce qui est du double-nettoyage, il consiste d’abord à éliminer le gros du maquillage. Il sert aussi à effacer les traces d’écran solaire et de pollution. Son action s’étend aussi à l’excès de sébum à l’aide d’une huile démaquillante idéale à la dissolution des particules sur la peau.

Enfin, suit l’étape du savon. Elle consiste à ôter tous les résidus restants sur la peau. Ce nettoyage facilite aussi l’enlèvement des peaux mortes. Il est important de ne pas agresser l’épiderme. Pour cela, il faudrait choisir une formule douce. Cela permet de ne pas l’irriter ou de la dessécher.

Au terme du nettoyage de peau impeccablement réalisé, il faut appliquer des soins de visage adaptés aux besoins. Cependant, pour un bihaku réussi, l’utilisatrice doit commencer par les soins liquides et légers (la lotion et le sérum).

Ensuite, elle termine par les textures les plus riches. Ces dernières sont appliquées en massant la peau. Ainsi, le visage est détoxifié et la circulation est également relancée.  

Saho : l’alternatif au Bihaku

Nombreuses sont les femmes qui ne se familiarisent pas bien au Bihaku. Le cas échéant, elles peuvent utiliser la technique japonaise appelée « Saho ». Cette méthode est assez similaire à celle du Bihaku.

En effet, elle consiste à l’usage de nombreux cosmétiques à une fréquence de 2 fois par jour (le matin et surtout le soir).

Aussi connue sous le nom de layering, cette technique japonaise consiste en une accumulation ordonnée de diverses couches de produits cosmétiques. L’avantage de cette méthode est l’obtention d’un teint lumineux exempt de défauts en 4 phases.

1ere étape du saho : le démaquillage
Pour commencer, l’utilisatrice doit débarrasser son visage du maquillage et de toutes les impuretés. Cependant, cette étape ne se réalise pas au coton, mais aux doigts. La particularité est que cette étape s’exécute avec une gestuelle anti-âge.

2e étape du saho : le nettoyage
la chose suivante à faire est un bon nettoyage de la peau avec une solution lavante telle que :

• le savon ;
• la crème nettoyante ;
• l’huile nettoyante.

Grâce à cette opération, les cellules mortes de la peau sont enlevées. Elle se charge aussi d’éliminer les excès de sébum et d’impuretés diverses. Pour profiter de sa qualité antirides, l’utilisation des produits hydratants est également requise.

3e étape : le ciblage et l’hydratation
À ce niveau, la technique sert à soigner la peau. Les soins lui apportent un meilleur confort et une bonne hydratation.

Pour un résultat satisfaisant, l’utilisatrice a l’obligation d’utiliser une lotion tonique ou adoucissante. Ce qui permet de neutraliser certains agents extérieurs, notamment le calcaire de l’eau.

4e étape : une hydratation en profondeur
la dernière étape du saho constitue sa singularité. En effet, elle consiste à appliquer des soins nourrissants tels qu’un sérum et une crème de nuit. Les Japonaises raffolent de cette dernière action, car elle leur assure une peau blanche et sans rides.

Bon à savoir : le matin, l’application du Saho se fait par le biais des phases 2,3 et 4. L’ajout d’une crème du jour et/ou une protection solaire s’avère nécessaire.

Le bihaku est une méthode esthétique très efficace dans l’élimination des rides. Le plus est qu’il offre d’autres bénéfices importants pour la peau. En cas de non-accoutumance avec cette technique, vous pouvez toujours avoir recours au Saho, une autre technique japonaise !