Le vaccin le plus injecté dans l’Union européenne et en France est le Pfizer-BioNTech, ceci du fait de son efficacité. Découvrez dans cet article la liste complète des effets secondaires connus du vaccin Pfizer.
Sommaire de l'article
Vaccin Pfizer-BioNTech : Que savoir ?
Le vaccin Pfizer-BioNTech, également connu sous le nom de COMIRNATY, a été créé par le laboratoire Pfizer et l’entreprise allemande BioNTech. C’est le 20 décembre 2020 qu’il a été homologué en Europe par la Commission européenne. Les essais cliniques ont permis de démontrer que ce vaccin a un taux d’efficacité de 95% pour réduire le risque de développer des symptômes en lien avec la Covid-19.
Le vaccin Pfizer-BioNTech est destiné aux personnes ayant 12 ans et plus. De plus, il a prouvé son efficacité chez les patients atteints de pathologies médicales comme l’asthme, le diabète, l’hypertension, les maladies pulmonaires, et d’autres infections chroniques. Pour que Pfizer soit efficace, le patient doit obligatoirement recevoir deux doses séparées de 28 jours.
Vaccins Pfizer-BioNTech : Quels sont les effets secondaires ?
Les rapports fournis par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) révèlent que le vaccin COMIRNATY entraine plusieurs effets secondaires. Toutefois, ces derniers sont plutôt bénins et disparaitront spontanément au bout de quelques jours.
Les effets les plus fréquents
Selon les rapports des essais cliniques, les effets secondaires les plus fréquents après avoir reçu les injections de Pfizer-BioNTech peuvent être :
- la fatigue,
- des myalgies,
- des frissons,
- des céphalées,
- de la fièvre,
- des arthralgies.
Ces effets sont d’intensité légère ou modérée et ne provoquent aucun autre trouble ou pathologie.
Les effets fréquents
Selon les médecins, le vaccin Pfizer entraine dans des cas fréquents, généralement chez 1 personne sur 10, une rougeur au niveau de l’injection. Ceci n’est qu’une réaction à la piqure. De plus, il a été démontré qu’il peut aussi provoquer des nausées.
Les effets peu fréquents
Les essais cliniques ont révélé que le vaccin Pfizer peut entrainer un gonflement des ganglions lymphatiques, des douleurs dans le bras ayant reçu l’injection. Il peut aussi provoquer des démangeaisons au site d’injection, une sensation de malaise, ou encore des insomnies. Toutefois, ceux-ci sont peu fréquents. En effet, seulement 1 personne sur 100 a été touchée par ses troubles. De plus, ces derniers ne présentent aucun danger pour l’organisme.
Les effets les plus rares
Parmi les effets secondaires rares provoqués par le vaccin Pfizer, l’on retrouve :
- la myocardite: cette dernière est une inflammation du muscle cardiaque nommé le myocarde. Dans un rapport produit par le 2 juillet, l’ANSM révèle qu’elle a recensé 45 cas de myocardite dont 14 cas concernent des personnes âgées de moins de 30 ans. Il est important de préciser que la plupart des patients touchés sont déjà guéris ou plutôt sont en cours de rétablissement,
- la paralysie facile : au cours des essais cliniques, 4 cas de paralysie faciale se sont déclarés. Toutefois, les effets de ce trouble se sont dissipés au bout de quelques jours,
- la péricardite : ce dernier est un gonflement et une irritation du péricarde qui est une membrane recouvrant le cœur. Ce trouble se fait souvent remarquer par la fièvre, la sueur abondante, des douleurs musculaires et articulaires. Depuis le début de la vaccination, les rapports ont révélé que 95 personnes ont été touchées par la péricardite. Parmi ceux-ci, 9 cas sont des individus ayant moins de 30 ans. Toutes les personnes touchées sont déjà complètement rétablies ou sont en cours de guérison.
Quels sont les effets secondaires chez les femmes enceintes ou allaitantes ?
Selon l’OMS (Organisme Mondiale de la Santé), les femmes enceintes et allaitantes peuvent recevoir les doses du vaccin Pfizer. Toutefois, dans certains cas rares, ces injections peuvent entrainer des effets secondaires. En effet, ces femmes peuvent être sujettes à :
- des fausses couches: le vaccin Pfizer peut provoquer des fausses couches spontanées chez les femmes enceintes. Toutefois, ceci n’est qu’une hypothèse, car les scientifiques n’ont pas encore confirmé le lien réel entre ces deux situations,
- des contractions utérines sévères: depuis le début de l’administration du vaccin Pfizer, 4 cas de contractions utérines douloureuses ont été observés chez les femmes enceintes. Dans la plupart des cas, celles-ci sont intervenues à la fin du second trimestre. Cependant, les scientifiques ne tirent encore aucune conclusion, car ces situations sont toujours en observation,
- des événements thromboemboliques : l’ANSM a révélé que depuis le début de la campagne de vaccination, plusieurs cas d’événements thromboemboliques ont été déclarés à la suite de la prise du vaccin Pfizer. Les recherches sont toujours en cours pour établir un lien probant entre les deux situations.
Vaccin Pfizer : Quels sont les effets secondaires graves ?
Les informations obtenues au fur et à mesure de l’avancement de la campagne de vaccination ont permis aux médecins d’établir d’autres effets secondaires qui n’étaient pas apparents lors des essais cliniques. Ainsi, dans un rapport mis en évidence le 21 mai, l’ANSM a fait le point sur des effets recensés au cours du même mois. Parmi ceux-ci, certains ont été déclarés comme dangereux. Comme effets secondaires graves, l’on retrouve : la zona, les échecs vaccinaux, la thrombopénie, les hématomes spontanés, les troubles du rythme cardiaque, le syndrome d’activation des macrophages, le syndrome de Guillain-Barré, le déséquilibre diabétique dans des contextes de réactogénicité, l’aplasie médullaire idiopathique, la myocardite et la myopéricardite, la réactivation à virus Epstein-Barr.
Toutefois, il est important de préciser que ces effets indésirables ne remettent pas en cause l’efficacité et la fiabilité du vaccin Pfizer pour combattre efficacement contre la COVID-19.
Le vaccin Pfizer est-il efficace contre les variants de la COVID-19 ?
Depuis quelques mois, les scientifiques ont découvert plusieurs variants du virus de la COVID-19. Les plus fréquents sont : le variant Delta, le variant Alpha, le variant Beta et le variant Gamma. Selon l’OMS, ils sont préoccupants, car ils présentent un risque élevé pour la santé. Face à cela, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur l’efficacité du vaccin Pfizer contre ces variants.
Le variant Delta
Le variant Delta est un mutant qui a été découvert en Inde en octobre 2020. Il serait à la base de plusieurs nouveaux cas constatés en France. À en croire les scientifiques, la prise de deux doses du vaccin Pfizer offre une protection à 95% contre les risques d’hospitalisation et autres formes graves entrainé par ce variant.
Le variant Alpha
Le variant Alpha est un variant qui est apparu au Royaume-Uni. En France, il serait à l’origine de près de 80 % des tests positifs. Les études réalisées par les scientifiques ont révélé de façon unanime que le vaccin Pfizer est très efficace contre ce mutant. En effet, une seule dose permet de créer des anticorps puissants capables de le neutraliser. Ainsi, la prise de deux doses de ce vaccin vous permet d’être bien protégé contre toute attaque.
Le variant Beta
Le variant Beta est un variant qui a été constaté en Afrique du Sud dans le mois de mai 2020. Il serait la cause de plusieurs contaminations dans La Réunion. D’après les recherches réalisées en laboratoire, il a été démontré que le vaccin Pfizer induit une réponse immune rapidement après deux doses. En d’autres termes, il permet de combattre efficacement le variant Beta.
Le variant Gamma
Le variant Gamma est un mutant qui est apparu au Brésil en janvier 2021. Selon les derniers rapports, il serait très présent en Guyane, mais se maintiendrait à un faible niveau dans les autres régions françaises. À en croire les chercheurs, les anticorps produits par le vaccin Pfizer permettraient de neutraliser le variant Gamma. Toutefois, pour une action efficace, ceux-ci doivent être en quantité élevée. Ainsi, la prise de deux doses de vaccin Pfizer se présente comme la meilleure solution pour se mettre à l’abri de ce mutant.
J’ai fait des allergies sérieuses avec certains médicaments, et une avec le vaccin contre la grippe, syndromes Guillain-Barré séreux qui perdurent trois ans après. Plus des allergies de printemps avec asthme saisonnier. Je ne prends plus de médicaments du tout de peur de souffrir d’allergies à nouveau. Je rajoute que j’ai été traité au Médiator et que j’ai eu une légère atteinte des valves. Dois-je vraiment me faire vacciner. J’ai le sinistre pressentiment que si je le fais, ce sera ma dernière vaccination
Apres le vaccin Pfizer le taux de la glicemie a diminué et depuis un mois je prend moins des medicaments pour le diabet, Apres environ deux semaines apres le vaccin une eruption fort est aparu sur mes bras qui est encore present apres un mois.
Personne ne peut prédire à un candidat au vaccin s’il présentera un effet secondaire bénin, rare, grave ou mortel. J’affirme qu’obliger des personnes non-consentantes à se faire vacciner de force via l’interdiction de se rendre à l’hôpital entre autres mesures de rétorsion est un crime contre l’humanité. Je souffre encore de syndromes Guillain-Barré suite au vaccin anti-grippal et personne ne comprend ma détresse et mon angoisse! J’en ai tellement marre que certains jours je pense mettre un terme à tout ça!
Bonjour Avec vaccin Pfizer , ma fille na pas eu ses menstrues , elle viens d’avoir 2 ième picouse .Elle viens de faire le test , mais il s’avère négatif .
Il est intéressant de citer les effets secondaires graves du vaccin pfizer, merci pour cela, mais par souci de transparence totale il serait tout aussi important de donner la proportion de cas touchés par ces effets. Sans connaitre la proportion ou le nombre de cas impliqués dans les effets secondaires graves, cela ne renseigne en rien sur le risque du vaccin.
Il n’y a pas d’effets psychologiques connus ?
Le vaccin n’a en effet aucun effet psychologique connu.
Mon épouse 83 ans, deux mois après la 2° injection a constaté une obstruction visuelle de moitié sur son œil gauche (SCOTOME). Après tous les examens de contrôle (IRM) aucune altération du nerf optique avec aucun problème vasculaire. Ce n’est pas non plus la DMLA.
Malgré l’opposition des spécialistes (ophtalmologue, neurologue et autres) pour mettre en cause la 2° injection (19/02/2021), je ne comprends pas de ne pas l’admettre;
hypothèse tout aussi valable que celle de la nier!
Notons qu’elle a eu des effets respiratoires indésirables dans la nuit suivante? déclarés sous référence du signalement 20210221021528080 à pharmacovigilance (CRPV Marseille).
Conclusion : cette tâche est maintenant irréversible. Aujourd’hui, qui plus est, son dosage d’anticorps après 6 mois seulement est déficitaire.
Avec le risque de perdre la vue, elle craint maintenant très justement la 3° injection!
bonsoir les rapports ANSM donnent la liste des effets secondaires notamment atteinte yeux, nerfs crâniens, donc qu’ils arrêtent de nous raconter des mensonges. IL Y A aussi le zona, mais ils l’ont supprimé au fil des jours et mois …
dans mon entourage et pour moi-même il s’est agi, lors de la troisième dose de PFIZER BIONTECH DE FIEVRE élevee à 39.5 avec tremblements incoercibles pendant plus de 12heures avec somnolence. Les deux premières doses n’avaient provoqué aucun trouble. Il semble donc que la troisième dose soit plus réactogène.
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